DEPUIS 1991
Une histoire de plus de 34 ans...
Fest'arts, l'électrochoc culturel
Déjà 34 ans que Fest’arts s’est implanté au cœur de Libourne. 34 ans qu’il fait vibrer la ville en été, au mois d’août. Fête populaire et intergénérationnelle, Fest’arts a gagné sa renommée dans le paysage culturel français et européen.
Dans l’ADN de Fest’arts, il y a les gènes historiques des fêtes traditionnelles de Logroño, en Espagne, ville jumelle de Libourne. Gilbert Mitterrand, ancien Maire, s’enthousiasme de cette énergie populaire : « la fête appartient à tout le monde et on n’est plus seulement spectateur mais acteur de sa propre fête ».
Sous l’impulsion de Dominique Beyly, fondateur et ancien directeur artistique du festival, la porte des arts de la rue s’est alors peu à peu ouverte sur le pavé libournais. Selon lui : « il y avait une réelle envie de liberté et de sortir des murs du théâtre […] d’investir les lieux publics, de les métamorphoser, de faire en sorte que ce soit toute la ville qui s’empare d’un projet collectif ».
Au cœur de Libourne, un réel électrochoc artistique était en train de se produire. La rue, espace si familier, s’invente en un lieu de rencontre et de démocratisation culturelle.
En 1992, dans le cadre de Libourne en fête, une première journée est consacrée aux Arts de la rue. En 1993, le nom de Fest’arts est donné. Cet événement, d’abord intimiste, rejoint au fil des années le club des plus grands festivals français dédiés aux arts de la rue.




































FEST'ARTS, UN FESTIVAL À GRANDE ÉCHELLE
D’une dizaine de spectacles à ses prémices, à une quarantaine aujourd’hui, le festival ne cesse de s’élargir. Pour chaque édition, une palette de spectacle des arts de la danse, du cirque, du théâtre et de la musique rythme les rues de Libourne. Si la volonté première était de valoriser les projets culturels du territoire, les spectacles de compagnies européennes et internationales intègrent également la programmation. Parmi eux, les projets aussi extraordinaires que polémiques de Générik Vapeur, Opéra Pagaï ou encore Deabru Beltzak.
Fest’arts, c’est aussi la concordance de partenariats artistiques pluriels construits au fil du temps, notamment Grand’Rue, Fédération des arts de la rue de Nouvelle-Aquitaine. La part belle est également offerte à d’autres horizons, avec la coopération artistique et transfrontalière possible grâce à l’Institut basque Etxepare. Sans oublier le soutien indéfectible de partenaires institutionnels départementaux, régionaux et nationaux permettant depuis 34 ans l’accueil et la diffusion de près de 770 compagnies.